De Québec à Vancouver, les PME canadiennes font face à plusieurs défis, mais le plus criant est de loin celui de la productivité, affirme le président et chef de la direction de la Banque de développement du Canada (BDC), Michael Denham.
«L’enjeu numéro un est la productivité. Je ne dis pas qu’on a un problème de productivité, mais c’est toujours important», a déclaré le patron de la société d’État ce lundi en marge d’une allocution prononcée devant le Cercle canadien de Montréal.
La productivité mesure la quantité et la valeur de PIB produites dans une heure de travail par un employé. Elle n’a donc aucun lien avec la quantité d’heures travaillées dans une semaine.
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Paru dans Les Affaires (Le 15 avril 2019)
Par François Normand
La professeure Marie Dumont, de l’UdeM, lance un outil en ligne gratuit destiné aux travailleurs de nuit pour les aider à mieux gérer leur sommeil. Il repose sur ses 30 ans de recherche sur le sujet.
Plus du tiers de la population active au Québec – une personne sur trois! – travaille de nuit ou selon un horaire qui la chevauche; ces salariés sont nombreux à éprouver des difficultés à bien dormir ou à souffrir d’insomnie. Or, ils ne disposent que de peu de moyens reposant sur la science pour améliorer la qualité de leur sommeil.
À quelques semaines de la retraite, la professeure et chercheuse Marie Dumont fait un legs important issu des recherches qu’elle a menées au cours des 30 dernières années: elle lance «Mieux vivre le travail de nuit», un outil interactif en ligne visant à faciliter la récupération des travailleurs de nuit en fonction de leur situation personnelle.
Le travailleur, Joaquin Trejo Gutierrez, venait du Mexique et travaillait pour l’employeur, Les Fermes Denis Lauzon et fils, depuis la saison 2006. C’est au cours de l’été 2015 qu’il s’était blessé au dos en travaillant, souffrant d’une entorse lombaire aiguë sévère.
Il avait quitté le Québec pour retourner au Mexique le 22 octobre. Il croyait alors être rappelé chez l’employeur en mars, l’année suivante, comme c’était le cas chaque année. Mais l’employeur, en novembre, avait indiqué sur le formulaire transmis au gouvernement qu’il ne serait pas de retour pour travailler à sa ferme en 2016.
C’est en juin 2016 que M. Gutierrez avait appris, d’un autre travailleur agricole qui était déjà présent sur la ferme, qu’il ne serait finalement pas rappelé. M. Gutierrez avait alors déposé sa plainte évoquant un «congédiement sans cause juste et suffisante».
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Paru dans Le Soleil (Le 8 avril 2019)
Par La Presse Canadienne
Micheline Pellerin travaillait comme hôtesse pour Les Rôtisseries St-Hubert de Magog lorsqu’elle a chuté sur la glace alors qu’elle se rendait à sa voiture après sa journée de travail, en mars 2017.
La femme dans la cinquantaine, qui habite maintenant Saint-Antonin, près de Rivière-du-Loup, s’est fracturé la cheville.
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Paru dans le Journal de Québec (Le 1er avril 2019)
Par Stéphanie Gendron
(LCP) Compte tenu du contexte socioéconomique actuel, la Loi favorisant le développement et la reconnaissance des compétences de la main-d’oeuvre « reste un instrument pertinent pour favoriser pleinement l’essor des compétences de la main-d’oeuvre québécoise », selon un rapport sur sa mise en oeuvre qui couvre la période 2013-2018.
« Pour consolider et améliorer les résultats d’application de ce levier, il importera de disposer d’une meilleure compréhension des besoins en matière de développement des compétences et de déployer des efforts accrus de valorisation, d’accompagnement et de soutien des entreprises en matière de formation continue en emploi », peut-on y lire en conclusion.
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Paru sur le Courrier parlementaire (Le 2 avril 2019)
Le mécontentement lié au travail semble toucher de plus en plus de Québécois. C’est du moins ce que révèle un récent sondage commandé par AXTRA, l’Alliance des centres-conseils en emploi. En effet, 50 % des gens ayant participé à l’étude se disaient insatisfaits de leur travail.
Pour contrer ce mal-être, les gens n’hésitent plus à changer d’emploi. Comme l’explique Valérie Roy, directrice d’AXTRA, « depuis quelques années, on voit se dessiner une nouvelle tendance. Les gens n’ont plus un cheminement professionnel linéaire. Ils ne restent plus accrochés au même emploi toute leur vie comme on le voyait auparavant. »
Selon cette étude, les Québécois auront en moyenne cinq emplois différents au cours de leur carrière, ce qui est bien supérieur à ce qu’on voyait il y a quelques décennies.
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Paru dans le 24H du Journal de Montréal (Le 26 mars 2019)
Par Marie-France Bujold (37e Avenue)
Les organismes et entreprises qui souhaitent effectuer des activités de recrutement à plus de 50 kilomètres de leur emplacement pourront bénéficier d’un remboursement de l’État. Jusqu’à 50 % des dépenses liées aux frais de déplacement, d’hébergement et de repas pourraient être couverts.
Je pense et je suis convaincu que ça va faciliter la mobilité régionale et répondre à nos besoins
, a déclaré le ministre du Travail, Jean Boulet.
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Paru sur ICI Abitibi-Témiscamingue (Le 25 mars 2019)
Par Thomas Deshaies
Le taux de diplomation est à nouveau en hausse dans le réseau scolaire québécois, alors que l’écart entre les garçons et les filles demeure toujours important.
Selon les plus récents chiffres rendus publics sur le site du ministère de l’Éducation, 76,4 % des jeunes ont obtenu un diplôme d’études secondaires (DES) ou professionnelles (DEP) après sept ans, comparativement à 76 % pour la cohorte précédente.
Cette proportion est en constante hausse depuis une dizaine d’années. En chiffre absolu, l’augmentation signifie que 317 jeunes de plus ont réussi à obtenir un diplôme en 2016-2017. Lorsqu’on tient compte des qualifications (qui comprennent onze autres certificats), le taux de diplomation le plus récent atteint 80,9 %.
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Paru dans Le Journal de Québec (Le 25 mars 2019)
Par Daphnée Dion-Viens
Les femmes qui travaillent plus de 55 heures par semaine augmentent leur risque de dépression, mais pas les hommes, écrivent des chercheurs britanniques dans le Journal of Epidemiology & Community Health.
Après avoir étudié plus de 20 000 personnes, et après avoir tenu compte de facteurs comme l’âge, le revenu, la santé et le type d’emploi, les scientifiques de l’université londonienne Queen Mary ont constaté que, chez les femmes qui travaillaient autant d’heures, le nombre de symptômes dépressifs augmentait de 7,3 %, comparativement aux femmes qui travaillaient 35 à 40 heures par semaine.
Le travail de fin de semaine était aussi associé à une hausse des facteurs dépressifs aussi bien chez les femmes que chez les hommes. La hausse était de 4,6 % chez les femmes et de 3,4 % chez les hommes, par rapport à celles et ceux qui ne travaillaient que la semaine.
Les symptômes dépressifs, comme une faible estime de soi, ont été mesurés à l’aide d’un questionnaire médical que les participants ont rempli.
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Paru su Radio-Canada Grand Montréal (Le 2 mars 2019)
Par La Presse canadienne
Ils ont peut-être des limitations physiques ou mentales, mais leur volonté de travailler traverse les barrières. Des entreprises québécoises se tournent vers des personnes handicapées pour contrer la pénurie de main-d’œuvre. Si leur emploi nécessite une adaptation, les bénéfices sont exponentiels.
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Paru sur ICI Estrie (Le 4 mars 2019)
Par Marion Bérubé