Inspirée par la Belgique et les États-Unis, la toute première Semaine du télétravail débute ce undi avec des conférences virtuelles sur des thèmes qui sont très d’actualité. Voici cinq éléments importants à retenir selon le président de Télétravail Québec, José Lemay-Leclerc, la conférencière Béatrice Javaudin et le Guide d’encadrement du télétravail pour l’employeur et l’employé de l’Ordre des conseillers en ressources humaines agréés.
Implanté en catastrophe, le télétravail doit maintenant être revu et bien organisé en fonction des besoins des organisations et des entreprises. Les spécialistes suggèrent l’instauration d’une politique de télétravail dans laquelle on va incorporer l’aménagement de l’espace, la propriété du matériel, la sécurité informatique, la disponibilité du salarié et le remboursement des frais. « Ça donne un cadre pour l’employé sur lequel il peut se reposer et ça diminue son stress, affirme la conférencière Béatrice Javaudin, présidente d’A7ressources. Les attentes sont éclaircies, car la politique met noir sur blanc les inclusions et les exclusions, comme le forfait internet, par exemple. »
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Paru sur Lapresse.ca (Le 14 septembre 2020)
Par Isabelle Dubé
À cause du confinement, de nombreuses personnes à travers le monde sont passées en mode télétravail. Cette solution offre de nombreux avantages. Par exemple, il n’est pas nécessaire de quitter la maison et ainsi risquer d’attraper la COVID-19. Toutefois, on ne peut ignorer qu’elle pourrait aussi apporter des problèmes qui menacent la santé mentale des employés. Nous savons déjà que le défi du télétravail est plus grand à l’époque de la COVID-19 qu’à n’importe quelle autre époque.
«La définition du télétravail a fondamentalement changé pendant la pandémie. Dans d’autres situations, ce pourrait être un travail rêvé parce que ça te permettrait d’être là où tu le souhaites tout en gagnant de l’argent. Mais dans ce cas-ci, être « là où je veux » ça n’arrive pas pour tout le monde. Ce qui crée une grande pression mentale pour le travailleur parce qu’il doit savoir comment ramener en un seul endroit tous les éléments de la vie courante. Et c’est aussi une pression pour l’entreprise, qui doit adapter la dynamique de travail aux nouveaux défis et générer une synergie entre les besoins psychologiques, personnels et familiaux de l’employé», affirme Laura Reyes, psychologue organisationnelle à l’Université du Rosaire, en Colombie, et à l’Université de Bologne, en Italie.
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Paru sur journalmetro.com (Le 9 septembre 2020)
Par Monica Garzòn
Les propriétaires des Bistro Café Summum et de la buvette mexicaine Maria Maria de Saguenay misent sur le bonheur de leurs employés, particulièrement en cette période trouble. Les restaurateurs offrent désormais 12 séances chez le psychologue à leur personnel.
Cette aide psychologique s’ajoute aux conditions de travail hors de l’ordinaire qui sont déjà en place pour les employés non-syndiqués des trois restaurants de Saguenay.
Le pourboire est partagé entre tout le personnel. Les employés qui étudient dans un domaine connexe à la restauration reçoivent une aide financière. Ils ont aussi accès à des consultations médicales gratuites dans une clinique privée, ainsi que des soins chiropratiques et kinésiologiques.
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Paru sur ici.radio-canada.ca (Le 9 septembre 2020)
Par Priscilla Plamondon Lalancette
Les employés québécois pourront prendre leurs dix jours de congé maladie payés sans craindre les représailles s’ils doivent s’isoler pour limiter la propagation de la COVID-19. Le gouvernement Legault veut interdire aux employeurs de pénaliser un salarié absent parce qu’il suit les recommandations de la santé publique. Cette mesure se veut complémentaire à celle déjà annoncée par le gouvernement fédéral en août.
« Déjà, le gouvernement fédéral a annoncé qu’il va financer une banque de dix journées pour tous les travailleurs, a affirmé le premier ministre François Legault, mercredi, en marge du Sommet Ontario-Québec. Le montant va être transféré aux provinces. Le ministre du Travail, Jean Boulet, va mettre en place un système. C’est une question de temps avant que ça soit mis en place et que ça soit financé à 100 % par le gouvernement fédéral. »
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Paru sur ledevoir.com (Le 9 septembre 2020)
Par Mylène Crête (correspondante parlementaire)